J’enrage de ce monde que l’on prépare pour nos enfants. Par Gérard Brazon

« The disguised wolf, a scene from little red riding hood. Engraving from 1870. Engraving by Gustave Dore, Photo by D Walker. »

L’épisode Raquel Garrido et Alexis Corbière lors de l’émission de télévision mené par un homme qui ne condamne pas vraiment « ses amis » est un exemple de ce qu’est devenue la gauche islamo-gauchiste si pleine de mépris ordurier, proférant des insultes baveuses, issues de bouches hurlantes. (Source) (Source de l’image)

Ils me font penser à ces révolutionnaires sanguinaires, les idiots utiles de Marat, Robespierre et autres Carrier. Les Corbière et Garrido sont de cette engeance profiteuse de biens, que certains comparent aux Thénardier et d’autres aux Bérurier de San Antonio.

Une engeance qui doit en gêner plus d’un parmi les députés, et y compris parmi ceux de la France Insoumise, je pense à cette députée, ancienne aide-soignante qui a su porter une parole courageuse pour dénoncer le sort des soignants maltraités dans les hôpitaux.

Et c’est cette opposition qui est censée s’opposer aux diktats gouvernementaux. Quelle misère !

Parce que ce ne sont pas les maigres effectif du RN, injustement limités par un système électoral, et surtout par la bêtise crasse des abstentionnistes qui ont permis à Emmanuel Macron d’avoir une majorité confortable avec en soutien, les éternels collabos socialistes, centristes et Républicains. Tous âpres aux gains et aux postes.

Jean Castex continue d’énumérer, avec un discours de directeur d’école, une attitude envers 67 millions d’élèves, qu’il juge avoir manifestement moins de 12 ans, des privations de libertés.

Il utilise le système du garrot, cette ancienne peine de mort utilisée en Espagne qui consiste à serrer doucement la gorge du condamné jusqu’à l’étouffement et jusqu’à ce que les cervicales se brisent.

La pression se fait de plus en plus sentir. Le souffle de la liberté s’amenuise. Il nous faudra montrer patte blanche en tous lieux. Plus de loisirs, de rires, de restaurants, de cinémas, et aussi… plus de soins, plus d’examens médicaux sans passer par les fourches collaboratives des personnels et des soignants.

  • Le passe sanitaire généré par les autotests validés par le pharmacien a été supprimé.
  • Le PCR qui le générait aussi, ne le sera plus en janvier.

Pourtant, ces deux méthodes assuraient que la personne testée n’était aucunement positive, contrairement à celui qui, vacciné, transmet et propage le Covid, mais serait « protégé des formes graves » comme le dit le nouveau mantra des médias et des autorités médicales totalitaires.

Où est la logique, la cohérence et quel est le but ?

Celui que tous les citoyens de France, et tous les enfants à partir de 5 ans, soient triplement vaccinés contre un virus qui, rappelons-le tout de même, peut être mortel pour les personnes âgées et ayant des comorbidités.

Disons-le, cette insistance génère plus le doute et alimente le soupçon d’une entourloupe financière au mieux, mortifère au plus, au lieu de convaincre.

Le directeur de l’école France nous dit qu’il avait laissé assez de temps aux élèves au fond de la classe pour se vacciner volontairement. Vient désormais le temps du coup de règle sur les doigts et le bonnet d’âne.

Pourtant, plus d’un an après, il y a toujours autant, sinon plus de « cas », c’est-à-dire de personnes qui ne sont pas forcément malades, alors que et malgré qu’il y ait eu plus de 75 % de vaccinés en France.

Quid de cette arme de combat unique contre un virus qui se fout de Spizer, Moderna et Jansen ?

Au fil du temps, certains ont trouvé des subterfuges pour obtenir un passe sanitaire, mais in fine, l’étau se resserre sur les non vaccinés, devenus la lie de la société, les coupables des morts actuels et futurs. La bonne vieille technique de la culpabilité !  Rien ne se passe dans la société, pour desserrer cet étau gouvernemental, celui du Conseil d’État validant l’impensable, et celui d’un Conseil constitutionnel aux abonnés absent. Rien, aucune protestation véritable hormis quelques manifestations qui n’apportent pas grand chose et génèrent de l’indifférence médiatique. Tout est cadré. La chape de plomb est en place.

Nous sommes peu à peu broyés dans une gigantesque machinerie d’État. Trop de complices pour que ce soit innocent ? Non, je ne le crois pas.

Nous vivons la même expérience, quasi indolore au début, que celles qu’ont vécue les Russes sous les bolcheviques qui devint la dictature soviétique des communistes.

Nous vivons la même soumission des « élites », des fonctionnaires, des autorités pourtant garantes des libertés, que sous les fascistes national-socialistes de Mussolini.

La même compromission des « élites » que sous le parti national socialiste des travailleurs allemande (NSDAP) d’Hitler.

La même acceptation que celle pour les franquistes du général Franco, dans une moindre mesure.

Même broyage des peuples, petit à petit. C’est la grenouille qui se prélasse,  ravie dans un bain chaud, et qui finira par être cuite.

Tout se répète en permanence, l’histoire, le passé n’aura servi à rien. L’histoire est jugée contre- révolutionnaire par certains et les écoles évitent d’enseigner.

Nous ne sommes donc que des fétus de paille. Les non vaccinés s’accrochent, mais pour combien de temps encore avant de céder pour accepter la muselière, et se placer volontairement dans les rangs, à moins d’accepter de finir dans les canalisations des chiottes des politico-sanitaires.

J’enrage de ce monde que l’on prépare pour nos enfants, de cette lâcheté ambiante des médias et des politiques.

J’enrage que chaque article de ceux qui doutent, soupçonnent, à tort ou à raison, avec des arguments souvent, soient devenus des bannis, voient leurs protestations sur certains réseaux sociaux, (YouTube, Facebook, etc.) encadrées par la « prévenance » des algorithmes réfutant leur droit à penser le contraire.

Je n’aurais jamais cru il y a seulement 2 ans que ce peuple de France pouvait aussi facilement se soumettre et je comprends mieux à présent comment ce peuple de France a si facilement accepté la soumission en 1940/45.

Gérard Brazon  

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