Ayons une pensée charitable pour deux pauvres jeunes immigrés venus de leur Afrique natale et ayant connu les pauvres « tout pleins de misères » comme l’a pensé, avec tristesse, la juge Sabine Orsel le jeudi 13 janvier, au tribunal de Laval, en Mayenne.
Certes, ils ont massacré un homme, mais ils ont les circonstances atténuantes, car c’était un Blanc, un vieux monsieur de 80 ans qui habitait à Levallois, une ville chic des Hauts-de-Seine, et donc, par définition, un homme issu d’une race qui a tellement commis de « crimes contre l’humanité », comme le rappelait Emmanuel Macron, et commis tant de mal en pratiquant l’esclavage, et en colonisant ces pauvres Africains.
La juge comprend, la juge compatit, la juge refuse clairement de juger un acte qui, pour elle, ne se justifie pas, c’est évident, c’est certain, elle n’est pas idiote, elle est instruite, elle est syndiquée j’imagine, et consciente, « éclairée », woke comme ils disent, et se vit sans doute coupable d’être elle-même, issue de cette race blanche maudite. Amen !
Ces jeunes immigrés, nous dit Ouest France ont « Tous les deux vécu une enfance compliquée : élevés en Afrique par des personnes qui n’étaient pas leurs parents, maltraités, réfugiés en France et pris en charge au titre de mineurs non accompagnés. » Tout s’éclaire pour Jean-Loïc GUÉRIN, ce journaliste compassionnel, si compréhensif, d’autant plus que ce n’est pas son grand-père qui a pris les coups.
Celui-ci poursuit, en bon journaliste humanitaire de gauche de France, possédant de solides compétences en psychologie qu’« Ils ont aussi une personnalité assez semblable : instables, impulsifs et carencés. » Ce qui, par un éclair de lucidité soudain, la présidente-juge Sabine Orsel résume par un : « Des personnalités psychopathiques ». Versons une larme, et tournons la page !
Elle aussi n’a pas eu de grand-père massacré et donc, elle est libre d’avoir une vision humaniste et immigrationniste puisque comme chacun le sait à Riposte Laïque, c’est « fasciste », « d’extrême droite » que de penser qu’il y aurait un lien entre la violence, la délinquance et l’immigration.
Pour avoir voulu cambrioler un homme de plus de 80 ans, chez lui, en pleine nuit, un homme qui était en parfaite santé, tout à fait autonome, la sanction ne pouvait pas être sévère puisque les auteurs étaient des pauvres migrants venus d’Afrique.
Certes, depuis cette agression, l’homme blanc, ce vieillard en bonne santé, est depuis fortement diminué puisqu’il vit dans un fauteuil d’handicapé, mais, ô quelle chance, il vit désormais avec son épouse en Ehpad. Pour un peu, ces deux salauds auraient dû être remerciés.
La juge Sabine Orsel, dans son immense compréhension et mansuétude, n’a pas voulu ajouter de la misère à la misère. Les auteurs ont simplement écopé de quatre ans de prison ferme.
Elle sera sûrement décorée de la Légion d’honneur par Dupond-Moretti.
Gérard Brazon
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