Racisme ou anti-racisme. Depuis quelques années, la France vit sous l’emprise de cette obsession. Qu’est-ce que le racisme et l’anti-racisme ? Que veulent dire ces discours de racisés, ces racistes qui se vantent d’être anti-racistes ?
Le p’tit con inculte d’antifa (Source)
Nous avions autrefois nos racistes habituels. Ces citoyens de France qui faisaient des boutons lorsqu’ils se retrouvaient confrontés à l’étranger, aux Noirs, aux Arabes, aux Juifs et aussi aux homosexuels. Depuis des années, ce racisme, minoritaire chez les Français, faisait partie d’une norme et était dénoncé par des humoristes comme Fernand Raynaud.
L’immense majorité des Français, le plus souvent, était indifférente parce que les conflits étaient très minoritaires. Hormis la période de la guerre d’Algérie et la focalisation sur les Algériens en France, on ne peut pas dire que le racisme était une réalité politique prégnante. Les musulmans, par exemple, ne faisaient pas leurs prières en pleine rue, sur les quais d’une gare, voire dans un ascenseur. Ils restaient discrets, et la plupart buvaient du vin et mangeaient du cochon sur les chantiers avec les copains.
Il est vrai que la France était socialement française.
Les enfants dans les écoles étaient de souche ou issus d’immigrés parfaitement assimilés. Les politiques étaient eux aussi de souche, avec parfois des accents du terroir. Les instituteurs en blouse avaient l’autorité pour exiger la discipline à l’école.
On portait la blouse, se mettait en rang et en silence, avant d’entrer en classe, et par ordre de grandeur ! On s’asseyait quand le maître d’école le demandait, après la fermeture de la porte de la classe par le « maître d’école ». On se levait quand le directeur de l’école entrait en plein cours. Chaque matin, le « maître d’école » inscrivait au tableau la phrase civique du jour à la manière des Dix Commandements. « Tu te moucheras en silence, tu ne crieras pas, tu ne chahuteras pas, tu respecteras ton voisin de table, etc. »

Que tu sois issu de la Beauce, du Perche, de la Sarthe, et même de Bretagne, nous parlions la même langue et étions assujettis aux mêmes règles scolaires de discipline. Jamais nous n’en avions souffert. Les parents n’appréciaient pas les mots du « maître d’école » concernant la discipline et le plus souvent, en rajoutaient une couche.
Pas question de se plaindre d’une tape sur la tête, d’un tirage d’oreille, même si les cruels coups de règle sur les doigts nous avaient fait mal. On savait que si nous avions fait des écarts de discipline, cela allait nous tomber dessus. Donc, il ne régnait que le silence dans la classe, et seules les réponses au calcul mental étaient autorisées, et la parole offerte pour répondre aux questions d’histoire et de géographie.

Vous avez bien compris que je vous parle d’un temps que les moins de quarante ans ne peuvent pas connaître.
Un temps où les petits Français qui n’allaient pas en sixième, savaient lire, écrire et compter. Ces enfants avaient un certificat de fin d’études (CEP) à 14 ans, et abordaient l’apprentissage d’un métier. En ce temps-là, il n’y avait pas de chômage je vous l’accorde, et tous les enfants savaient qu’ils avaient un avenir.
Ceux, trop faibles à l’école, pas assez suivis par les parents à 12 ans, qui n’avaient pas intégré la sixième, étaient partis en apprentissage, mais ils savaient qu’ils n’étaient pas condamnés. Les « certifs » n’allaient pas à la misère des usines et de la mine décrite par Hugo ou Zola. Beaucoup de ceux-ci ont monté leurs propres entreprises, ont fait des carrières avantageuses dans de grandes entreprises, ont ouvert des ateliers, des magasins, et beaucoup ont fait fortune tandis que d’autres, avec leur Bac en poche, ont stagné dans la fonction publique où ailleurs, par manque d’ambition ou de rage de réussir. Mais tous avaient le respect de l’autre, du maître d’école, de la police, de la justice, et de la France.
Je rappelle tout cela pour souligner la responsabilité de ceux qui depuis les années 1980 ont modifié ce fragile équilibre.
Les classes de France ne sont plus homogènes. Les écoliers ne sont plus de vrais camarades de classe. Les profs sont devenus des agents de la propagande gauchiste ayant à cœur d’enseigner le mépris du pays qui les a nourris, au nom d’un humanisme dévoyé. L’enfant a été mis centre de l’intérêt de l’éducation socialiste qui en a fait un petit dictateur inculte, devenu incapable de comprendre le pays dans lequel il vit, ou pire, déteste ce pays où ses parents ont immigré en pensant y trouver une meilleure société.
Ce sont les « élites » éducatives et politiques qui ont fait, des écoles de France, des bouilloires infernales, des mares où fermentent des bactéries, des entités négatives, des idées faisant de l’école, ce sanctuaire, un immense cloaque où même l’enfant le mieux disposé à apprendre, le plus curieux à découvrir des nouveaux mondes, le plus passionné par toutes les richesses culturelles de ce pays, se retrouve coincé dans une sorte de magma infernal qui l’entraîne vers le bas.
Il lui est offert comme enseignement la détestation de celui qui n’est pas comme lui, n’a pas la même couleur de peau que lui, la même religion, les mêmes origines que lui. Il en retire un sentiment de rejet et une envie d’en découdre qui n’a rien à voir avec la réalité.
Les plus fous se servent de ce magma, de cette boue, pour se faire de la thune, du blé, des pépettes, du fric, du flouze en trafiquant et en se taillant un royaume imaginaire dans les cités jusqu’à ce qu’une balle y mette fin.
Les plus malins, ceux qui réussissent dans cet univers malsain, sont les Traoré, les Diallo, des Obono, des Bouteldja, et des rappeurs comme Djuna, alias Gim et j’en passe, qui se sont fait une bonne place juteuse à souhait dans cette France qu’ils haïssent. (Source)
"Avec votre livre, on a l'impression que tout le monde est invité à kiffer sa race, sauf les blancs !" @EugenieBastie évoque le racisme anti blancs auprès de @RokhayaDiallo #RestonsZenPP pic.twitter.com/Tb57E27iOa
— Paris Première (@ParisPremiere) January 19, 2022
Les plus virulents, les serpents, les hyènes, ces soi-disant intellectuels, les gauchistes, ces grands malades, ces destructeurs, ces déconstructeurs, ces loups déguisés en brebis qui, en horde, sévissent sur tous les plateaux de télévisions, sur tous les réseaux sociaux, dans les manifestations de droite nationale, et ces pseudo-antifas incultes, issus le plus souvent de ces rejetons ratés de la bourgeoisie aisés, ces déculturés, ces lobotomisés qui se croient dans le camps du Bien, comme le pensaient autrefois, avant guerre, ces militants des sections d’assauts de Röhm, ces sinistres SA, qui faisaient régner le désordre, la violence dans les rues d’Allemagne, et terrorisaient les habitants, les commerçants et en particulier les Juifs.
Ce que vit aujourd’hui Tanguy David, cet enfer voulu par ces « bonnes âmes de gauche », est ignoble. Je le soutiens totalement. (Source)
Ce n’est pas aux réseaux sociaux qu’il faut en vouloir, car grâce à ceux-ci, nous avons la possibilité d’être informés sur tous les sujets, mais c’est sur l’incroyable résultat de l’éducation socialiste nationale dispensée par des profs gauchistes qui auront dévoyé une jeunesse en lui refusant la possibilité de raisonner, et en la politisant à l’excès.
Une jeunesse inculte, complexée, vidée de bon sens, devenue immigrationniste et soi-disant éclairée (woke), si haineuse de soi, si violente avec ses origines (parents, grands-parents, cultures, ancêtres, histoire, peuple, France) et ayant avalé l’idée qu’être racialiste, ce n’était pas être raciste, alors même que leur racialisme est le nouveau visage du racisme tourné contre lui-même, une sorte de masochisme déclaré, une volonté d’auto-destruction totale, une mise à mort de soi.
J’accuse la gauche, les socialistes, les politiciens de cette gauche infâme d’avoir voulu assassiner la France.
Je déteste ces centristes (Bayrou, Macron, etc.), cette droite molle (Chirac, Sarkozy, Pécresse, etc.) tous ces européistes d’avoir laissé faire par lâcheté, d’avoir regardé ailleurs, tandis qu’on poignardait mon pays dans chaque coin de rues et laissait s’installer des casernes (mosquées), des baïonnettes (minarets), des soldats de l’islam (imams, frères musulmans, salafistes) qui utilisent tous les idiots utiles de cette gauche ignoble pour faire de la France une province islamisée de l’Union européenne anti-démocratique.
Gérard Brazon
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